passons donc en revue tous les critères d’identification à vérifier :
– Plante annuelle ou pérennante, pubescente.
– Tiges de 5-50 cm, arrondies, diffuses, couchées ou ascendantes, munies sur un côté d’une ligne de poils alternant d’un noeud à l’autre.
– Feuilles ovales-acuminées (=dont les feuilles se terminent brusquement en pointe effilée comme le tilleul ou le bouleau), les inférieures (celles qui sont situées en bas de la plante, plus près du sol) assez longuement pétiolées.
– Fleurs blanches petites, en cymes (=groupes de fleurs sur pédoncules partant du même point et arrivant à une même hauteur) terminales lâches.
– bractées herbacées
– sépales oblongs, pubescents ou glabres
– pétales profondément bipartis (= un pétale presque découpée en deux), plus courts que le calice (Calice = ensemble des sépales).
– 3-5 étamines
– styles égalant presque les étamines
– capsule ovoïde, dépassant peu le calice. Plante très polymorphe (= dont la forme peut varier beaucoup).
Autre espèce de stellaire :
-Variété à tiges longues, feuilles grandes, pétales égalant le calice, 10 étamines (S. neglecta Weihe).
-à tiges courtes, feuilles petites, pétales nuls, 2-3 étamines, styles très courts (S. apetala Ucria).
blanch
Comment déguster cette plante ?